Ma première critique universitaire
Je remercie Stéphane Héas pour son compte-rendu qui souligne l’importance des rencontres interculturelles dans le tatouage traditionnel américain, un thème cher à mon cœur, avec l’apport de mon amie Elise Müller.
Je remercie Stéphane Héas pour son compte-rendu qui souligne l’importance des rencontres interculturelles dans le tatouage traditionnel américain, un thème cher à mon cœur, avec l’apport de mon amie Elise Müller.
Le 18 mars 1882, à dix‑neuf ans, Irène Woodward débuta comme Tattooed Lady à New York, faisant ses premiers pas dans les salons du Sinclair House.
En rédigeant Le tatouage traditionnel américain, j’ai utilisé les travaux d’Ira Dye. La sirène ci-dessous en est un exemple, étonnamment retrouvée dans l’ouvrage du docteur belge Vervaeck.