Histoire du tatouage traditionnel américain actu !
Chère lectrice, cher lecteur,J'ai beaucoup travaillé ces derniers temps. J'ai hâte de finir et en même temps, je sais qu'il y aura toujours des choses à modifier !J'ai fini le…
Chère lectrice, cher lecteur,J'ai beaucoup travaillé ces derniers temps. J'ai hâte de finir et en même temps, je sais qu'il y aura toujours des choses à modifier !J'ai fini le…
Tatouer comme à la préhistoire, c’est l’incroyable projet d’archéologie expérimentale initiée par l’archéologue américain Aaron Deter-Wolf en lien avec les tatoueurs Danny Riday de Nouvelle-Zélande et Maya Sialuk Jacobsen du Danemark. L’équipe a même reçu une bourse de l’EXARC ! Suivez l’expérience sur Instagram @archaeologyink
La prostitution est « la plaie » que toutes les sociétés dites « civilisées » tentent de maîtriser depuis des millénaires. Entre 1830 et 1930, c’est l’âge d’or des maisons de tolérance en France, les fameux bordels.
À la fin du 19e siècle, adepte du réglementarisme (qui encadre la prostitution légale), l’écrivain « historien » français Maxime Du Camp recense environ 120 000 insoumises à Paris.
En septembre dernier, la Cour suprême du Japon a déclaré que « Le tatouage n’est pas considéré comme un traitement médical ni comme un acte lié aux soins de santé ».
En 1817, le Bordelais Joseph Cabri est le premier tatoué à s’exhiber en France. Pour quelques sous, le vice-roi de Nou-Kahiva, arbore ses tatouages dans les foires ou le salon des curieux.
Avec « Felix Leu », la famille Leu rend hommage à son patriarche. Publié sur Seedpress, l’ouvrage dévoile le parcours atypique du Suisse.
0 produits dans le panier (0,00€)