La couverture du livre est une reproduction réalisée par Prof Nicholas York d’un tatouage thoracique encré en 1906 par Gus Wagner sur Fred Lagindorf.

Je remercie infiniment tous les contributeurs !

Angélique Adrover, Alexandre Legrand, Laura Andrault, Irène Andrews, Camille Angileri, Anne Asika, Anthony Chhong, Yohann Antignac, Ed Apollo, Arthur Artribal, Jean-Gabriel Aubert, Pascal Bagot, Jeanne Barnicaud, Jean-Pierre et Monique Bay, Maximilien Benzahra, Sébastien Bernot, Philippe Bertrand, Mazhe Betourne, Yoann Blanchard, Peur Bleue, François Boidin, Ludovic Bondier, Manon Boniface, Loïc Bos, Jody Boucard, Natacha Bourquin, Mathieu Bracq, Loïc Carion, Nicolas Cauquil,  Jib Certenais, Fabien Chalmeton,  Hugo Chapellier,  Rodolphe Cintorino, Mirko Claudot, William Collins, Geoffrey Cousin, Jessica Daniel, David Germain, Marlou De Galles, Mikael De Poissy, Elodie De Sousa, Sabrina Delagree, Yannick Delaval, Cédric Della Valle, Florent Denis, Prescilla Depeux, Robin Dezaux, Clément Doineau, Doriane Pinel, Clémentine Dubreuil, Mathieu Duny, Yoann Durand, Xavier Durand, Hervé Duru, Eddie Vandewalle, François Eschapasse, Jessica Espada, Chris Etienne, Sara Farris, Camille Felix, Thibault Fordos, Mickael Fourel, Helena Front, Arthur Gajda, Sylvain Gaquiere, Benjamin Goisis, David Grandaud, Maxime Grehier, Jérémy Guémené, Peggy Guerrini, Nicolas Gumo, Fabien Guyot, Mitchell Hanwell, Valérie Hortin, Seb Janouin, Virginie Javoise, Raphael Jeannin, Lionel Journoud, Ben Labourde, Renaud Laithienne, Marie Lampert, Jean Marie Le Breton, Simon Le coq, Stephanie Le Derf, Anthony Le Goff, Gwendal Le Henanff, Erwan Le Menn, Ricky LeBadwolf, Charlie Lecach, Charli Lefebvre, Hugues Legrand, Frederic Leonard, Yoann Lerich, Kevin Leveau, Nicolas Maille, Violette Martin, Lionel Martin, Pierre Martin, Mathieu Seillier, Fenris Mathieu-Rousselet, Corti Matthias, Antoine Melanitto, Ghislain Melou, Myriam Menu, Morgane Meunier, Sébastien Montini, Cédric Morales, Nicolas Moreau, Alois Moreau, Florian Moreau, Moana Mounier, Julien Mouton, Margaux Nouet, Steve Noyrigat Gleye, Abel Nur Morales, Cynthia Ouillet, Virginie Paillet, Yann Parussini, Antoine Paul, Antoine Petite, Cyril Piermée, Bastien Piet, François Pompa, Arnaud Posnic, Leny Prevot, Etienne Renard, Pierre-Jean Renault, Nicolas Ribot, Yohann Roche, François-Yves Rocher, Antoine Rodier, Lionel Roso, Emmanuelle Rouquette, Thomas Rousseau, Sonia Roux, Pierre Ruby, Sylvie Sabater, Stéphanie Saiselet, Fred Salsedo, Matthieu Serra, Maryon Simon, Jc Smug, Christelle Souverbie, Mickaël Thiebault, Ruel Thierry, Arthur Toy, Dylan Trincat, Eric Vandewalle, Yonni Vanstaen, Olivier Velasco Bsa Tattoo, Charline Verove, Nicolas Vial, Sophie Villette, Laurent Zucca, Pierre et le loup, Raphael Augier, Hugo Fulop

À propos du projet : 

L’écrivain William Caruchet résume parfaitement l’esprit maritime : « Plus que dans n’importe quelle communauté […] les hommes de la mer, avec leurs dessins pleine peau, ont le sentiment d’appartenir à un monde à part avec ses croyances, ses mœurs et ses superstitions. L’apport des grands voyages maritimes participe à la connaissance et à la vulgarisation des tatouages. » Dans sa forme la plus ancienne, le tatouage traditionnel américain était une pratique de marins. Au cours des siècles, cette tradition de l’encre a pris place au sein de la communauté pour devenir un langage universel intradermique. Son vocabulaire s’est étoffé sur chaque navire, à chaque voyage, et dans chaque port de ce vaste monde. Le traditionnel américain s’est tissé des désirs et des peurs du matelot seul face aux dangers de l’océan, loin de la terre ferme et de ses proches. Son sens du groupe et de sa religiosité était alors primordial pour survivre. Pour retracer les origines de ce style, il est important d’observer son évolution au travers de prismes plus larges comme ceux du voyage et de la découverte du monde, de la communauté des marins ou de l’histoire des États-Unis d’Amérique. Il est donc essentiel de prendre en compte ses racines européennes, car les États-Unis se sont édifiés sur les terres des 13 colonies de l’Empire britannique.

Au fil des siècles, la tradition du tatouage américain s’est transmise au sein de la communauté des marins militaires et marchands, avant de s’étendre au-delà des océans, dans chaque port où ils posaient un pied à terre. Les marins tatoueurs se sont établis dans les villes portuaires pour encrer leurs congénères de passage. Ils ont lancé la tradition des artistes tatoués, première publicité vivante de leur art abouti. Ces derniers s’inspiraient des histoires des naufragés tatoués. Ils ont contribué à répandre une idée du tatouage exotique, excitant la curiosité de l’américain qui n’avait pas quitté le continent. Puis, les artistes tatoués sont devenus tatoueurs et ont véhiculé le traditionnel dans les contrées, loin des ports. Avec l’audace de ces artistes, le traditionnel Américain s’est enrichi de motifs plus sophistiqués, mais toujours simples à interpréter avec des symboles sur les thèmes de l’amour, de la mort et de la religion comme un langage universel et populaire.

Le livre devrait être chapitré approximativement de la manière suivante :

  • CHAPITRE I : Aux origines du tatouage
  • CHAPITRE II : Une vie de marin
  • CHAPITRE III : Histoire de Beachcombers
  • CHAPITRE IV : Le tatouage sur les terres
  • CHAPITRE VI : Les freaks tatoués
  • CHAPITRE VII : Les tatoueurs phares
  • CHAPITRE VIII : Les tatoueuses phares
  • CHAPITRE VIII : Les symboliques du traditionnel
  • CHAPITRE IX : Le dermographe

Format Beaux-livres 28 x 28cm,

500 exemplaires
192 pages + pages de garde

Couverture : 130 g couché demi mat sur carton 3.0 mm 4/0 + pelliculage mat + dos toilé

Pages Intérieures : 150 g Multioffset

ISBN : 979-10-699-8016-7

Qui suis-je ?

Je m’appelle Alexandra Bay et j’ai 44 ans. Depuis l’âge de 16/17 ans, je suis passionnée par le tatouage. J’ai très vite eu envie de devenir tatoueuse. À l’âge de 18 ans, j’avais trouvé un petit apprentissage. Ce mode de vie lié aux voyages et aux rencontres me faisait rêver. Je ressentais une profonde admiration pour des artistes comme Filip Leu ou Paul Booth.

Je suis tombée amoureuse du traditionnel américain vers l’âge de 20 ans. À l’époque, on appelait ce style : « old school ». C’était une version élaborée du trad US tout en volume, version kustom culture. J’ai fait la différence bien plus tard entre les aplats subtils du trad et le volume moderne du « old school ». Et j’ai obtenu mon premier flaming autour de la cheville, à l’âge de 20 ans.

Durant des années, comme beaucoup, j’ai blogué pour communiquer ma passion de la musique et du « tattoo », tout en pratiquant la photographie. Puis, j’ai collaboré avec Inked et Rise Magazine après avoir édité, avec la maison Black-Out, mon premier livre sur le tatouage et la famille, Love Tattoos & Family.

Pendant 4 ans, j’ai fait partie de l’équipe de Tatouage Magazine. J’interviens régulièrement en bibliothèque et anime des conférences et des ateliers créatifs sur l’histoire du tatouage.

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